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Quelques infos sur les équipements
Je complèterai cette rubrique peu à peu

Petite chronologie. J'ai commencé la photo bien modestement avec un petit Kodak. J'avais reçu ce cadeau à 12 ans pour ma communion ; les enfants aujourd'hui ont accès très vite à des équipements bien plus performants (appareil photo numérique, téléphone permettant tous les effets, la mise en ligne en temps réel...) Cet appareil m'a suivi et je l'ai utilisé avec économie ; mes parents me rappelant à chaque sortie de chez le photographe le coût "excessif" du tirage et du développement. J'ai un peu fini par oublier cet objet dans mon armoire et dans sa très grande boite. Etudiant sur Bordeaux, avec le besoin de faire quelques photos pour mes rapports de stage et mon mémoire, j'ai dépensé quelques francs pour acheter un appareil Ricoh. C'était le modèle premier prix des tests de la FNAC en 1989 ! Un objectif 35 mm permettait de faire d'honorables photos, avec une ouverture à 4.

En 1996, au retour d'un voyage en Espagne, déçu des photos réalisés, je pousse la porte de M. Carayon, à Albi, enseigne Camara, décidé à passer un cap. Ses très bons conseils m'ont orienté vers un Minolta ; j'avais aussi le choix de partir vers Canon. On se rend compte que ce choix nous suit ensuite plusieurs années.

Je me rappelle, pour le novice que j'étais, les explications données par M. Carayon sur le diaphragme ; je le vois cligner des yeux et avec humour me dire  "quand vous voulez y voir loin, vous clignez les yeux".

Cet appareil était livré avec deux objectifs Sigma : un 18-55 (que je n'ai plus) et un 70-210, que j'ai gardé.

La transition vers le numérique s'est faite lentement en 2004 avec un premier appareil compact  HP, remplacé en 2005 par un Nikon Coolpix et ses 5 millions de pixels.

Face à la nouveauté, mon reflex s'est alors un peu reposé dans son sac mais bien vite, l'envie de faire de la photo avec ce que j'appelle un "vrai appareil photo" s'est faite ressentir. 2008, 40 ans, et mes amis m'ont fait un très beau cadeau, un Sony Alpha 200. Avec ce bel objet, sans la limite du coût des tirages, avec un résultat en temps réel, je me retrouve à tenter de nouveaux réglages, à quitter le mode auto...​

2011, j'achète sur le bon coin un objectif macro 50mm-2.8 Minolta à un passionné de photos près de Toulouse (achetant lui-même du Leica !)​. Ayant eu dans ma formation initiale, des cours d'écologie, de botanique, je retrouve alors ce regard pour le détail des fleurs, des plantes et leur formidable diversité. Que du bonheur.

Virus de la photo quand tu nous tiens ! 2012, je craque à la faveur d'une opération promotionnelle de Sony pour un Alpha 65. Changement technologique avec une réelle avancée sur la qualité des images, cet appareil se singularise alors, comme toute la gamme de Sony, par un viseur électronique. Le profane, que je suis, apprécie les informations délivrées par cet équipement et la vision en temps réel de l'impact des réglages ; il faut reconnaître qu'il faut un petit temps d'apprentissage pour regarder dans cette "mini-télé" plutôt qu'au travers d'un miroir. Mais je suis conquis !

Sony 18-70 4.5-5.6

Minolta 50 2.8 macro

Sigma 70-210 5.6

Février 2013, un nouveau caillou rejoint la collection. Je profite d'un déstockage chez M. Noël à Albi pour acheter à un très bon prix un objectif Vivitar macro 100 - 3.2 (qui semble plus connu sous la marque Cosina). Cet objectif acheté neuf est de conception un peu ancienne avec un AF un peu lent mais, finalement, cela importe peu ; cela permet de bien travailler en mise au point manuelle, en zoomant par exemple en mode live-view et en utilisant un pied... L'AF fonctionne tout de même très bien pour une visée à bout de bras ; l'ouverture à 3.2 m'intéresse pour continuer à jouer par lumière faible et pour les arrière-plans très flous.

Septembre 2015 : l'Alpha 77 II (2éme génération) vient remplacer mon Alpha 65 (que j'ai donné à Lucie, trouvant désormais son Alpha 290, limite et ne permettant pas beaucoup de réglages). J'avais hésité à l'époque entre le 65 et le 77 ; je pense que le fait d'avoir été raisonnable a été une bonne chose. Le 65 m'a permis de découvrir de nouvelles notions, sans être trop perdu dans les options. Sur le 77, on va plus loin dans les réglages ; l'intérêt est aussi d'avoir accès à diverses fonctions grâce à de plus nombreux boutons. Cela peut effrayer mais c'est tellement plus simple à utiliser que de faire défiler des menus...

Le 77 II est bluffant, sur la gestion de la lumière, sur le réglage de l'autofocus... La gamme progresse encore.

Un Minolta 28 2.8 acheté d'occasion vient rejoindre la collection et me suit bien souvent pour des photos de paysage ou au coeur des villes.

Et puis en 2019, l'arrivée de l'Alpha 7 II, mon premier plein format. Le viseur électronique n'est pas une nouveauté et j'y ai pris goût ; le simple fait de voir en temps réel les effets des réglages est important et très pédagogique.

 

 

La monture E succède à la monture A ; un adaptateur (LA-EA4) me permet d'utiliser mes anciens objectifs. Mes "vieux" cailloux  50 2.8 et le 28 2.8 ne me quittent pas.

Entre temps, j'ai acheté un flash Cobra à réglage manuel Yongnuo. Il faut un temps d'apprentissage mais jouer avec les réglages est intéressant. Bien sûr, si j'ai besoin d'un cobra dans des moments où l'immédiateté est nécessaire, mon vieux flash asservi au boitier est là.

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